Tout comme la pauvreté, la mauvaise humeur, la mauvaise santé et tout ce qui commence par "mauvais", la dépression n'a pas besoin de plan.
Pour y succomber, il suffit de se laisser aller.
Les mauvaises pensées pullulent dans les têtes comme les mauvaises herbes dans les jardins, quand on ne s'occupe pas de ce qu'elles contiennent.
La dépression n'a pas besoin de plan ; mais pour atteindre le bonheur, il en faut un.
Je ne parle pas du bonheur insouciant de l'enfance, celui-là n'est plus accessible dès lors qu'on a atteint l'âge de la puberté. Je parle du bonheur de l'âge adulte ; celui-là est réservé à ceux qui font l'effort de le rejoindre.
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