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17 novembre 2010

Le courage d'être heureux

En quoi est-ce du courage ?

Parce que le bonheur est la conséquence de choix courageux.

Nous savons tous très bien ce qu'est un choix courageux. C'est ce choix qu'on ne fait pas, mais auquel on pense, et si on ne le fait pas c'est parce qu'il parait trop difficile. Il faudrait prendre la parole en public... Il faudrait dire "non" à une figure d'autorité... Il faudrait se lever tous les matins plus tôt... Il faudrait accepter un travail que l'on n'aime pas faire... Il faudrait s'engager à... etc.

Quand nous refusons de faire des choix courageux - et pour commencer quand nous refusons de faire le choix courageux que nous devrions faire là, maintenant - nous gâchons notre vie.

Rien de moins !

Si vous croyez que vous pouvez réussir votre vie sans jamais affronter vos peurs, sans jamais "trembler, mais oser", vous vous mettez le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate.

La liberté vous attend de l'autre côté de la peur ; le bonheur, de l'autre côté du courage.

Il faut oser.

Aucune méthode de développement personnel, aucune thérapie chèrement payée ne remplacera jamais le courage.

C'est le courage qui nous sauve.
C'est le courage qui nous renforce.
C'est le courage qui nous ouvre les portes de l'abondance et du bien-être.

Vous dites que vous n'en avez pas ?

Le courage est un choix.

Tout le monde a peur.

 Certains reculent devant la peur - reculent toute leur vie, jusqu'à n'être plus qu'un paquet de nerfs tremblants...

D'autres reculent un moment, et puis finalement avancent et agissent malgré leur peur.

Voici une citation de l'excellent "Tremblez mais osez" que je vous conseille (vous pouvez l'acheter en cliquant sur le lien) :

"Surmonter son appréhension à agir engendre moins d'angoisse que de vivre constamment avec la peur souterraine créée par un sentiment d'impuissance et d'insatisfaction. [...] en refusant de prendre des risques, on se crée un monde bien plus aliénant et inquiétant qu'en s'exposant à des risques qui nous permettent, au bout du compte, de mieux vivre. Le problème, c'est que la plupart d'entre nous n'en ont pas conscience."

Bien sûr, les risques dont Susans Jeffers parle, et dont je parle, n'ont rien à voir avec les risques que l'on court en prenant une piste noire ou en buvant comme un trou le week-end. Le courage ne consiste pas à se mettre en danger physiquement, mais en prendre le chemin existentiel qui monte.

Avoir une explication difficile : se plaindre à la personne concernée plutôt que derrière son dos.
Poser des limites aux autres quand on n'en a pas l'habitude.
S'imposer une tâche inhabituelle.
S'inscrire à un nouveau cours de quelque chose.
Etc.

Le Feng Shui, un outil contre la dépression ?

J'avais prévu d'en parler dans l'article précédent mais au final, je ne l'ai pas fait...
Il faut dire que c'est un sujet à la fois très vaste et très délicat.

Qu'est-ce que j'entends par "Feng Shui" ? L'organisation de l'espace où vous vivez, tout simplement. Dans "organisation" il faut entendre les meubles, la disposition des meubles, ce qu'il a y a sur les murs, le rangement (ou le désordre), la propreté (ou l'absence de propreté)... Bref, tout.

Le Feng Shui est-il un outil contre la dépression ?

La réponse est un grand et gros OUI.

Quand à savoir en détail pourquoi, c'est une autre histoire... On peut parler d'énergie qui circule plus ou moins bien, c'est une explication comme une autre, on peut parler de physique quantique, on peut aussi parler de dimension symbolique (ici je ne rentre pas dans les détails) - et peut-être que toutes les explications sont vraies en même temps, ou qu'il y en a encore d'autres, que l'on connaîtra un jour.

Mais toujours est-il que la manière dont notre intérieur est organisé (ou désorganisé) a des répercussions sur notre vie en général, et notre moral en particulier.

D'ailleurs, tout le monde le sait instinctivement. Quelqu'un qui veut "tourner la page" et "changer de vie" commence généralement par déménager, ou au moins, par réorganiser son espace autrement. Souvent, il fera un grand nettoyage et jetera beaucoup d'objets inutiles. Pourquoi ? Parce que c'est le moyen de tourner effectivement la page.

Bien sûr, ce n'est pas le seul. Mais cette étape-là - celle d'une réorganisation de l'espace - est obligatoire, pas facultative.

Ce n'est pas la première étape... car la première étape consiste à changer ses idées... mais c'est l'une des premières étapes.

Supposons donc que Georges, pour prendre un prénom au hasard, est gravement déprimé.

Comment peut-il utiliser le Feng-Shui pour se remonter le moral ?

Voici quelques suggestions...

1/ Il peut examiner attentivement les images qu'il a affiché sur ses murs. S'il y a des tremblements de terre, des inondations, des poings crispés, des larmes, des images sinistres, etc. Georges doit les enlever et les jeter à la poubelle (ce genre d'image n'est pas un bon cadeau). Je me souviens par exemple d'un jeune homme cynique et morose qui collectionnait les paquets de cigarette portant des avertissements du type "FUMER NUIT GRAVEMENT A LA SANTE" en gros caractères. Il en avait "décoré" l'un de ses murs. Cette décoration ne se contentait pas de refléter son état d'esprit ; elle le confirmait et l'enfonçait dans sa morosité et ses problèmes de santé (quand je l'ai rencontré, il venait de se casser la jambe).

2/ Georges peut aussi passer ses placards et tiroirs au peigne fin. Les lettres de celle qu'il a tant aimé mais qui l'a plaqué sans pitié s'y entassent ? Qu'ils les jettent ! les souvenirs des amours révolus empêchent l'amour d'entrer. Tout ce qui, d'une manière ou d'une autre, lui rappelle des mauvais souvenirs doit aller à la poubelle. ça veut dire qu'il jette la moitié de ses affaires ? Tant mieux ! ça fera de la place pour la nouveauté dans sa vie.

3/ Georges doit aussi vérifier si les objets dont il se sert fonctionnent correctement. Ce qui est cassé doit être réparé ou jetté. S'il a besoin d'un objet et qu'il a les moyens de l'acheter, qu'il l'achète sans attendre. Cette mesure n'a rien d'anecdotique. Elle peut avoir un effet profond sur sa vie et son moral.

4/ Georges doit aussi se débarrasser de ses vieux vêtements - ceux qui ne lui plaisent plus ou ne sont plus à sa taille. Allez, ouste ! On donne ou on jette !

5/ Georges doit se demander s'il n'y a pas moyen de rendre son lieu de vie plus confortable, plus fonctionnel. Peut-être en déplaçant une armoire ? Ou une table ? Peut-être en plaçant tel ou tel miroir ailleurs ? Le but est de rendre son lieu de vie plus agréable pour lui.

6/ Si Georges veut plus d'amis, il faut aussi qu'il se demande si son lieu de vie est suffisamment accueillant pour les autres. Je donne un exemple. A l'époque où j'étais étudiante, mon appartement avait des murs beiges et des photos de statue en noir et blanc : le résultat était froid. Qui plus est, en entrant dans l'appartement on était "accueilli" par un grand et beau miroir, autrement dit par son propre reflet. Un miroir n'est pas un symbole accueillant. Un miroir est l'équivalent matériel de la petite phrase désagréable "c'est toi qui le dis". Si j'avais voulu plus d'ami et plus de soirées chaleureuses (mais à l'époque, je n'en voulais pas) j'aurais du enlever ce miroir. Et aussi, enlever le grand poster au-dessus du canapé, poster qui représentait la terre vue de la lune, se détachant sur le cosmos noir - une image qui suggérait un éloignement extrême à l'égard du reste de l'humanité...

7/ Enfin, s'il y a un coin sale et encombré, Georges doit prendre son courage à deux mains et le ranger. ça aussi, ça peut faire une différence considérable dans sa vie, même si a priori on ne voit pas le rapport.

Au fond, le Feng Shui n'est que l'approfondissement et la mise en pratique d'un bon sens que toute bonne ménagère possède de manière quasi-innée.

Et avec le Feng Shui, on obtient d'excellents résultats.

Mais voilà ce qui se passe assez souvent :

1/ on croit améliorer son environnement, et en fait on l'empire ;
2/ On a parfaitement conscience de ce qu'on devrait modifier dans son environnement pour l'améliorer, mais pour une raison ou pour une autre, on ne peut pas.

Par exemple, on déplace tel gros objet et juste après, on se sent encore plus mal à l'aise et déprimé.

Ou par exemple, on vit avec quelqu'un qui refuse qu'on jette ceci ou cela, ou qui refuse qu'on déplace tel ou tel meuble... ou on n'a pas l'argent de faire telle ou telle réparation nécessaire... ou pas le temps, ou on ne sait pas où aller pour trouver ce dont on a besoin...

C'est parce que le Feng-Shui n'est pas la toute première étape (sauf bien sûr s'il s'agit juste de nettoyer et ranger... nettoyer et ranger est toujours une bonne idée!)

La toute première étape, c'est de changer ses croyances ET de faire des choix plus courageux.

Il ne faut pas croire que "l'autre" (par exemple le conjoint qui refuse qu'on déplace les meubles) est le problème.
Le problème, c'est toujours nous.
Nous devons d'abord travailler sur nous-mêmes ET prendre des décisions plus courageuses pour débloquer la situation. Quand nous l'aurons fait, par miracle le conjoint sera finalement d'accord pour déplacer, remplacer, etc., ou peut-être même que c'est lui qui le fera spontanément.

Changer ses croyances.
Faire des choix plus courageux.
Ou l'inverse :
Faire des choix plus courageux.
Changer ses croyances.

EFT, hypnose, afformations, feng shui : pourquoi ça marche et comment ça marche contre la dépression

Dans cet articles, quelques considérations qui devraient vous permettre de mieux comprendre les racines de la dépression, la nature des solutions, et la manière dont ces solutions sont efficaces.

Commençons par les racines de la dépression.

Il y a les causes immédiates (celles que l'on n'a aucun mal à identifier) comme par exemple un divorce, la perte d'un emploi... et les causes profondes, celles que, la plupart du temps, on n'identifie pas du tout, ou qu'on identifie très vaguement (c'est à cause de mon enfance, je n'ai jamais eu de chance, etc.)

Ces causes profondes sont elles-mêmes de deux ordres :
1/ Les causes existentielles ;
2/ Les causes personnelles.

Qu'est-ce que j'entends par "causes existentielles" ?
Une absence de réponse, ou des réponses erronées, aux grandes questions de l'existence telles que : "pourquoi suis-je né ? pourquoi les gens s'agitent comme ça ? A quoi bon vivre ? Pourquoi faut-il mourir ? Notre existence a-t-elle un sens ou sommes-nous juste des singes ratés ? Qu'y a-t-il après la mort ? C'est quoi le bien ? C'est quoi le mal ? Comment savoir si ma vie sert à quelque chose ? Mon existence est-elle sensée avoir un but précis, et si oui lequel ? Etc."

Ces causes existentielles peuvent jouer dans la dépression, mais ce n'est pas toujours le cas.
Certaines personnes se fichent totalement de connaître la ou les réponses à ces questions-là ; elles se contentent parfaitement de vivre au jour le jour.

Les "causes personnelles" sont plus ciblées. Ce sont souvent des croyances erronées qui portent sur soi, par exemple "je suis nul, je n'ai pas de chance, je n'ai pas d'importance, je ne compte pas, je suis ridicule, je suis un perdant, etc." Ce peut être aussi l'ignorance de nos points forts : on ne sait pas qu'on est doué pour tel ou tel domaine, qu'on a tel ou tel trait de personnalité, telle ou telle qualité, tel ou tel défaut, etc.

Dans une certaine mesure, les causes existentielles et les causes personnelles se recoupent... la limite entre les deux est très poreuse. Ce sont tout de même deux catégories différentes.
Le remède aux causes existentielles de la dépression se trouve au rayon spiritualité/religion des librairies.

Par contre, le remède à la plupart des causes personnelles de la dépression se trouve dans le développement personnel... au sens large, qui englobe aussi tout un pan de la psychologie (mais méfiez-vous du rayon psychologie des librairies, il est souvent démoralisant et peu constructif.)

Dans ce blog, je parle la plupart du temps des causes personnelles à la dépression, pas des causes existentielles. ça ne veut pas dire que je les juge moins importantes que les autres, simplement c'est un terrain miné : je sortirais de mon rôle si je vous disais quoi croire... donc je reste concentrée sur les causes personnelles de la dépresssion, mais je vous conseille vivement de faire vos propres recherches pour solutionner les causes existentielles de votre mal-être. C'est parfois encore plus important, encore plus crucial, que d'en solutionner les causes personnelles.

Revenons maintenant aux causes personnelles de la dépression.

La majorité d'entre elles sont des croyances erronées bien ancrées. Pour s'en débarrasser, il faut :
1/ Les identifier ;
2/ Les déraciner.
La dimension "identifier" est relativement facile. Il suffit de réciter des affirmations positives dans tous les domaines (on en trouvera par exemple une liste sur le site club positif, dans l'encyclopédie des suggestions positives). Lorsqu'on se sent complètement incrédule par rapport à l'affirmation que l'on prononce, c'est que l'on croit le contraire, autrement dit, que l'on héberge une croyance négative bien précise.

- J'ouvre une parenthèse. En parlant de croyances, je n'ai pas parlé de choix. Or les choix (les mauvais et les bons) sont un facteur complètement déterminant, peut-être même encore plus déterminant, que les croyances dans la dépression et le bonheur. Mais comme les choix résultent des croyances, ici je me concentre sur les croyances. Il ne faut pas oublier cependant que dans la vie, on a toujours besoin de courage ; le courage de prendre les bonnes décisions et de s'y tenir. Rien ne remplace ce courage là, et rien ne pourra jamais le remplacer. Donc, ne croyez pas qu'il va suffire de changer le contenu de votre tête pour que votre vie change : il va aussi et surtout falloir que vous fassiez preuve de courage. Rien n'est plus payant que le courage. -

Parlons maintenant de l'opération "déracinage".
Comment déraciner une croyance négative personnelle comme par exemple "je n'ai pas d'importance" ?

Première chose à comprendre. La seule manière de lutter contre le froid, c'est d'allumer le radiateur ; la seule manière de lutter contre la haine, c'est de multiplier son amour et d'élargir son coeur ; et la seule manière d'effacer une croyance négative, c'est de la remplacer par la croyance positive contraire.

Le remède à "je n'ai pas d'importance" est donc : "j'ai de l'importance".

C'est ça, le remède.

Mais comment arriver à y croire ?...

La méthode Coué, l'hypnose, l'Eft et les afformations sont autant de méthodes pour "introduire" une croyance nouvelle dans son esprit. La méthode Coué joue sur la puissance de la répétition : comme Hitler le savait bien, un mensonge suffisamment répété passe pour une vérité. Pour arriver à croire à un énoncé comme pour arriver à apprendre une leçon, il faut répéter. C'est la clef de tout apprentissage.

Mais il ne faut pas seulement répéter. Il faut aussi être dans un état de disponibilité. Cet état de disponibilité et d'ouverture, de décontraction, favorise l'apprentissage. Si vous êtes tendu, crispé, et si qui plus est vous vous méfiez de votre professeur, vous n'apprendrez rien.

L'hypnose et l'EFT permettent d'arriver à cet état de relaxation, de confiance et de disponibilité où l'on apprend vite. L'EFT, parce qu'il aide l'énergie à circuler librement dans le corps ; l'hypnose, parce qu'elle crée une transe où l'on flotte, très détendu, en confiance.

Enfin, les afformations (bonnes questions) et certaines phrases propres à l'hypnose ericksonnienne jouent sur l'implicite, c'est-à-dire sur la manière dont le cerveau "gobe" plus facilement une idée nouvelle quand celle-ci lui est présentée comme étant déjà connue, déjà assimilée.

D'autres méthodes, et certaines thérapies, auront aussi recours à une enquête sur la manière dont les croyances sont apparues pour la première fois, pour aider la personne à prendre conscience que ce qu'elle a compris et cru n'était pas jsute.

10 novembre 2010

De quoi avons-nous le plus besoin dans la vie ?

Je pourrais dire d'amour, d'humilité, d'intelligence, etc.

Mais j'ai surtout envie de dire : DE COURAGE.
 
Le courage est le prix à payer pour une vie réussie.
Le courage est la qualité qui permet d'acquérir toutes les autres qualités.
Le courage est la qualité sans laquelle toutes les autres n'ont presque aucune valeur.

Et qu'est-ce que le courage ?

Un choix, rien de plus.

Le choix d'agir malgré la peur.

Le courage est donc un choix.

Faites le choix du courage et toutes les portes qui vous sont actuellement fermées s'ouvriront.
C'est quelque chose que j'ai mille fois expérimenté...
Sans courage, on ne peut rien changer, rien réussir.
Avec du courage, on peut tout changer, tout réussir.
C'est pourquoi dans les périodes où on manque de courage, on stagne... même quand on bouge beaucoup.
Et c'est pourquoi dans les périodes où on fait preuve de courage, on avance... même quand on reste relativement tranquille.

Pour développer votre courage, je vous conseille d'adopter deux mesures très simples :


1/ Lisez "Tremblez mais osez !" de Susan Jeffers.
2/ Répétez-vous souvent la question (ou afformation) suivante : "Pourquoi suis-je tellement courageux/courageuse ?"

Petite précision sur l'EFT

L'EFT (emotional freedom technique) est une méthode toute simple d'acupuncture digitale.
Autrement dit, on se tapote quelques points du visage et du corps - rien de plus.

Mais attention : l'EFT ne sert à quelque chose que si le tapotage est associé à des pensées ou des phrases bien précises. Par exemple, on peut pratiquer l'EFT tout en mettant des mots sur un problème qui nous fait souffrir... et le noeud émotionnel se dénoue.

Ou on peut pratiquer l'EFT en mettant en mots ce que l'on souhaite, ce que l'on désire... et là aussi, on dénoue les noeuds émotionnels qui nous étouffent et nous empêchent d'atteindre nos objectifs.

Par contre, si on utilise l'EFT sans penser à quoi que ce soit de particulier et sans rien dire de particulier, on n'obtient aucun résultat particulier !

C'est la combinaison Pensée, phrase + EFT qui donne quelque chose...

Je vous conseille l'EFT.
Je vous conseille aussi les afformations (bonnes questions).
Et l'hypnose - mais l'hypnose est un moyen un peu coûteux, alors que l'EFT et les afformations sont gratuites.

Le conseil que je viens de vous donner est court, deux phrases, mais précieux.

Il est le résultat d'années de recherches et d'expérimentations menées sur moi et sur les autres... J'ai dépensé énormément de temps et d'énergie avant de découvrir l'efficacité de ces deux méthodes extraordinaires. J'ai beaucoup tâtonné parmi les méthodes, les idées, les trucs, les astuces, les thérapies, etc.

Et ma conclusion est :

Combinez EFT et AFFORMATIONS et vous résoudrez vite fait vos problèmes psychologiques. 

 Et sachez aussi que la dépression n'est rien de plus que la somme d'un certain nombre de problèmes psychologiques : quand tous les problèmes sont résolus, la dépression n'existe plus. 

Mieux que la méthode Coué

(En réponse au commentaire d'un lecteur)

Non on ne peut pas devenir dépendant de la méthode Coué... qui n'est pas si délectable que ça ! Ni  de l'EFT...qui est efficace à condition de l'appliquer avec les bonnes phrases.

Mais il y a mieux que la méthode Coué, comme je l'ai découvert récemment : c'est la méthode des afformations, ou méthode des bonnes questions. Cf. mes derniers posts sur le sujet. 

Quand une croyance est vraiment éradiquée, elle ne revient pas - donc oui, il y a bien un moment où on a moins besoin des affirmations, de l'EFT, etc.

Mais pour éradiquer une croyance, c'est tout un boulot...



Une des manières les plus efficaces de travailler en profondeur est de combiner EFT + questions (afformations).

Exemple : on a identifié une croyance négative comme par exemple "je ne suis pas important" ou "je ne vaux rien".

On tapote avec l'EFT en disant "pourquoi suis-je quelqu'un d'important ?" "Pourquoi j'ai une grande valeur ?" "Pourquoi je suis quelqu'un qui compte ?" etc.

Et on laisse sortir les émotions jusqu'à ce que le compteur émotionnel soit remis à zéro...

Ceci dit, le développement personnel est né chez des auteurs qui étaient tous plus ou moins croyants...

C'est peut-être une mauvaise nouvelle pour les athées fermement décidés à le rester, mais il y a un lien assez étroit entre la confiance en soi et le fait de croire, d'une manière ou d'une autre, à un être supérieur et tout-puissant (Dieu).

Je ne me permettrai pas de vous donner des conseils sur ce que vous devez croire dans ce domaine là (le domaine religieux au sens large), mais il est tout de même bon de savoir que le développement personnel "pousse" d'autant mieux qu'on a dépassé le stade de l'athéisme matérialiste. Se voir en créature de Dieu est tellement plus valorisant que se voir en viande de singe.

Donc, si vous avez l'impression que le développement personnel ne suffit décidément pas à vous donner confiance en vous, cherchez aussi, simultanément, du côté religion/spiritualité : vous avez peut-être besoin de compléter votre approche de la vie en passant par ce rayon-là des librairies... Et toujours, toujours, privilégiez la logique, la raison et le bon sens sur le nébuleux et le vaseux.