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25 mars 2012

Lisez gratuitement les85 premières pages de "Marre de la vie ?"

En avant-première par rapport au livre papier, "Marre de la vie ? Tuez la dépression avant qu'elle ne vous tue !"  est dès maintenant disponible au format PDF...

Lisez gratuitement les 85 premières pages !!
 

23 mars 2012

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"Marre de la vie" (le livre) très bientôt à la Fnac

Bonjour à tous !

"Marre de la vie", mon très gros bébé (857 pages) sera dans quelques jours à la Fnac.
Je ne sais pas exactement dans combien de jours... mais dans 2 semaines je pense que ce sera bon.

Il a le même titre et sous-titre que ce blog mais vous n'aurez pas l'impression de lire ce blog (même si bien sûr il y a des points communs).

Voici la table des matières :

1/Foire aux questions
2/Neuf clichés sur la dépression
3/La souffrance
4/Alcool, cigarettes, etc.
5/Le meurtre de soi démystifié
6/Les causes de la dépression
7/Dépression, bipolarité, schizophrénie
8/Les antidépresseurs
9/La psychanalyse
10/Les électrochocs
11/La dépression sans nom
12/Le piro-optimisme
13/Cinq thérapies aussi douces qu'efficaces

"Marre de la vie?" est particulièrement efficace contre la tentation du suicide ; si vous pensez à mettre fin à vos jours je vous le recommande fortement : vous y trouverez ce que vous ne trouverez nulle part ailleurs, dans aucun autre livre, ni en français ni même en anglais, et qui vous délivrera de toute "idéation suicidaire" (comme disent les spécialistes quand ils veulent compliquer les choses).

Je le sais pour avoir écumé tous les livres relatifs au suicide - je parle de ceux qui cherchent à dissuader du suicide, les autres ne me concernent pas vraiment - j'ai  donc pu comparer.

"Marre de la vie?" est aussi très très efficace si vous avez reçu un diagnostic psychiatrique et que vous en souffrez. 


Très efficace aussi en cas de psychanalyse interminable et douloureuse.


Très efficace en cas de dépendance aux antidépresseurs.


Moins efficace, mais efficace quand même, en cas de dépendance "classique" (alcool, cigarettes).

Efficace en cas de "j'ai tout pour être heureux, alors pourquoi je déprime ?..."

Et instructif aussi.

J'ai essayé d'en faire 2 livres en 1:

- 1 livre d'informations qui permet, à moyen et long terme, de faire de meilleurs choix et donc, d'obtenir de bien meilleurs résultats (succès, bonheur) ;
- 1 livre plaisant à lire dont le style vivant et optimiste ait un impact positif immédiat sur le moral du lecteur.

Je ne suis pas sûre d'avoir complètement atteint ce deuxième but ; ce sera à vous de me le dire.

02 mars 2012

Rentrer dans le moule, ou confectionner un clafouti personnel ? (Considérations sur la philosophie psychiatrique et psychologique)

La psychiatrie est-elle une branche de la médecine ?
Elle passe pour telle, et pourtant pendant très longtemps les médecins n'ont pas considéré les psychiatres comme leurs collègues. Leur métier était différent ; leur passé était autre.

Lorsqu'on se tourne vers ses origines, on découvre que la psychiatrie se situe à l'intersection de deux domaines très différents :

1/ La prison ;
2/ La philosophie.

De l'aveu même des psychiatres actuels (au moins de celui de Jean Thuillier), les psychiatres ont longtemps été des "garde-chiourmes sadiques". Leur rôle ? Enfermer les fous et les garder enfermés.

Mais la psychiatrie a aussi une autre origine... une origine beaucoup plus noble.

Wilhelm Wundt (1832-1920) est le grand-père spirituel de la psychiatrie moderne - une grande partie de la psychologie incluse.
En effet bon nombre de ses élèves sont considérés comme les "pères" de la psychologie-psychiatrie : William James, Pavlov, G. Stanley Hall, etc.
On le considère aussi comme le "père de la psychologie expérimentale".

Or...
Wundt était un philosophe.

La psychologie (et donc, tout ce que la psychiatrie a de commun avec la psychologie) est à l'origine une branche de la philosophie.
Est-ce que ça ne la met pas tout de suite dans une autre perspective ?
Nous avons l'habitude penser à la psychologie et à la psychiatrie comme à des sciences - avec toute l'objectivité que cela comporte.
Mais la philosophie ne prétend pas à l'objectivité, et quand elle y prétend, tout le monde sait bien qu'elle ment.

Il y a une philosophie psychiatrico-philosophique.
Il y a une idéologie psychiatrico-psychologique.

Et cette philosophie, ou idéologie,  a été financé au vingtième siècle à coups de millions par la famille Rockfeller.
C'est-à-dire que la famille Rockfeller a payé pour que cette philosophie soit diffusée dans des livres, des tracts, des brochures - répandues par le biais d'organismes, d'institution.
Y compris dans les écoles.
Les écoles américaines... et au bout du compte, les nôtres.

Quelle est l'idéologie psychiatrique ?

En quatre mots : RENTREZ DANS LE MOULE.

Ne cherchez pas à créer votre propre gâteau, à élaborer votre propre recette... rentrez dans le moule, soyez de bons petits boulons dans la grande machine sociale, ne faites pas de vague, ne pensez pas hors des rails. Devenez un parfait employé, tel que les Rockfeller en ont besoin pour leurs usines... Ils n'ont pas besoin d'intellectuels, de créateurs - ils ont besoin d'hommes-machines prêts à remplir toutes les tâches qu'on voudra leur confier.

Le point de vue psychiatrique sur la nature humaine n'est pas objectif, n'est pas neutre, n'est pas scientifique. C'est le pseudo-idéal que les membres de la soi-disant "élite" proposent (ou plutôt imposent) à la populace, autrement dit à nous, parce que c'est leur intérêt.


01 mars 2012

L'homme est-il une bille de flipper ? (Le point de vue psychiatrique sur la nature humaine)

Une bille de flipper n'a aucune impulsion propre. Elle n'avance que dans la mesure où des forces la propulsent, et elle avance là où ces forces la dirigent. Elle n'a ni volonté, ni liberté, ni responsabilité.

L'homme est-il pareil à cette bille ?

Selon la psychiatrie (et une bonne part de la psychologie), oui.

Les gènes constituent le premier taquet : c'est eux qui envoie la bille (paf!) sur la droite ou sur la gauche, ou tout droit:

"Une part génétique est indiscutable..."
"Notre héritage génétique fait que..."
"Le gène égoïste décide alors que..."
"La dépression est dans le gène..."
"Notre bonheur est génétiquement déterminé..."

Ensuite, deuxième taquet : l'environnement familial, l'éducation, les parents. Pif !

"Tout se joue avant cinq ans..."
"Nous sommes le produit de notre environnement familial..."

La bille de flipper valdingue dans une autre direction - ou dans la même.

Elle roule à toute allure, mais n'y a aucun mérite. C'est le taquet qui détermine sa trajectoire.

Ensuite..

Bon, vous avez compris.

Mais cette vision psychiatrique de l'Homme, est-elle juste ?

Si nous nous levons tous les matins, est-ce parce qu'un taquet nous a tapé dans les fesses ?  Est-ce parce que nous n'avons pas le choix ?

On peut avoir cette sensation...

"Je me lève pour aller travailler. Je me lève pour payer mes factures. Je me lève parce que je n'ai pas le choix !"

...et c'est une sensation désagréable.

Mais est-ce une réalité ?

Comme vous êtes peut-être tenté de répondre "oui", je vais tourner ma question autrement...


Vous sentez-vous une CHOSE ou vous sentez-vous un ÊTRE HUMAIN ?

Si vous vous sentez un être humain, c'est que vous n'êtes pas une bille de flipper, et qu'il y a quelque chose qui cloche dans la manière dont la psychiatrie définit les gens.

Cerveau gauche, cerveau droit : vous pouvez réaliser vos rêves

Pourquoi tant de gens fuient-ils leur vie dans des romans et des films ?
Pourquoi sont-ils si désabusés de la réalité ?
Pourquoi préfèrent-ils n'importe quelle fiction à leur propre existence ?
Pourquoi célèbrent-ils l'imagination comme si elle seule pouvait leur donner ce qu'ils veulent ?

Je pense avoir la réponse.

Et elle a quelque chose à voir avec notre cerveau et ses hémisphères.

Le cerveau droit gère les images ; il fonctionne aux métaphores, aux symboles.
Le cerveau gauche gère la raison ; il fonctionne à la logique, au raisonnement.

Quand les deux hémisphères communiquent mal et peu, on voit une opposition, et même une contradiction, entre le rêve et la réalité.

(Vous allez me dire : qu'est-ce que j'en sais ?... Bon, laissez-moi dire, ça ne mange pas de pain. C'est une petite théorie personnelle fondée sur quelques connaissances glanées par-ci par-là et sur mon propre vécu.)

Opposer le rêve à la réalité, c'est croire que notre seul destin possible, c'est de nous inclure - ou de nous exclure. De nous conformer ou de nous révolter. D'entrer dans le moule ou de nous échapper hors de la cuisine.

Mais comme se révolter est fatigant et douloureux et ne permet pas de gagner sa vie, on se retrouve forcé à entrer dans le moule en question.

Triste destin.
S'adapter... s'intégrer... Le moule n'est pas en silicone mais en fer : lui ne changera pas d'un iota pour nous. C'est donc à nous de nous plier, de nous mettre en quatre, de nous tortiller dans tous les sens pour nous adapter à cet impitoyable moule. Le monde ne changera pas, la réalité ne changera pas, tout sera toujours pareil – c'est à nous de nous adapter, intégrer, et même désintégrer si c'est la seule manière de s'intégrer qui reste.

Et comme malgré tout on a encore un peu de personnalité, des désirs, et oui, des rêves, on se les garde par devers soi : jardin secret et romanesque où l'on se rend par l'imagination, au fil d'un roman ou d'un film...

Voici donc l'individu moyen, "normal" : il rêve avec son cerveau droit, s'occupe de sa vie quotidienne avec son cerveau gauche, et ne fait aucun lien entre les deux. Ses deux hémisphères cérébraux communiquent peu et mal.

Sa réalité est régie par des lois aussi impassibles et impitoyables que les lois physiques : il FAUT trouver un travail. Il FAUT avoir une voiture. Il FAUT se faire vacciner. Il FAUT se faire assurer. Il FAUT envoyer ses enfants à l'école. Il FAUT accoucher à l'hôpital. Il FAUT, il FAUT, il FAUT.

ça ne le réjouit pas mais il plie le col sous le joug qu'il n'a jamais remis en question. Sa liberté, elle est entre les pages du roman qu'il dévore.

Mais imaginez... imaginez que les rêves soient faits pour être réalisés ?

Imaginez que vos deux hémisphères communiquent et échangent comme de vieux amis ?

Imaginez qu'au lieu de vous inclure et de vous conformer, vous cherchiez avec passion et obstination à faire atterrir vos rêves dans la réalité ?

Les romans auraient moins de lecteurs, si chacun décidait de réconcilier ses aspirations les plus profondes et ses rêves plus fous à sa vie quotidienne.

Je ne sais pas de quoi sont faits vos rêves mais sachez que vous pouvez les réaliser - à condition bien sûr de vous les donner comme objectif.

Moi, mon rêve, c'était le grand amour. Ce rêve s'est réalisé. J'en ai un autre. Si j'adopte comme devise "j'y arriverai, ou je mourrai en essayant", celui-là aussi deviendra une réalité.

Vos rêves ne sont pas seulement des rêves. Ce sont vos potentialités, vos virtualités. Vous n'auriez pas de tels rêves si vous n'étiez pas capables de les réaliser.

L'imagination n'est pas faite pour tourner sur elle-même, pour se repaître d'elle-même. Elle est faite pour nous aider à concrétiser nos désirs, à transformer nos aspirations en réalisations, nos ambitions vagues en choses concrètes.

Vous n'avez pas à vous conformer ni à vous intégrer au monde. Vous avez à obtenir de lui ce que vous désirez obtenir. Vous n'avez pas à entrer dans le moule. Vous avez à vous servir du moule pour faire votre propre cake aux cerises. Le monde n'est pas une boite à outils où vous devez vous ranger comme un outil, le monde est une boite à outils dont vous devez vous servir pour vos propres bricolages.

Vous êtes plus fort, plus libre, plus capable que vous ne l'imaginez.

Vous avez entre les oreilles et au bout des bras des possibilités auxquelles, actuellement, vous ne croyez pas. Mais vous les avez quand même.

Quel que soit votre rêve, vous pouvez en faire une réalité.

Je n'ai pas besoin de vous connaître personnellement pour vous le dire avec certitude.

Nous sommes nés avec cette capacité.

Et puis, d'éducation en lavage de cerveau, nous oublions de quoi nous sommes capables.

Au lieu de viser les étoiles, nous visons l'adaption-intégration-désintégration, piètre objectif qui nous laisse amer et ennuyé, avide du prochain film qui passe...