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10 décembre 2008

En vrac

J'avais une idée importante et voilà que je ne la retrouve plus...

En attendant qu'elle revienne, voici quelques considérations désordonnées sur le malheur et le bonheur.

"Il n'est pas bon d'être malheureux, mais il est bon de l'avoir été" : qu'est-ce que ça veut dire?... Que la souffrance nous apprend des choses - à condition de faire l'effort d'en sortir.

La souffrance morale est comme un adversaire coriace ; si nous arrivons à en triompher, nous serons fort. Si nous refusons la lutte, nous serons faible. Et si nous acceptons la lutte et que l'adversaire nous met au tapis, c'est que le combat n'est pas fini. Nous ne pouvons pas devenir fort par un autre moyen que par cette lutte.

L'identité est un refuge illusoire ; se raconter qu'on est né comme ça, que c'est notre personnalité... (mélancolique) c'est simplement pérenniser un mauvais choix.

Nous sommes la somme de nos choix.

Nous ne sommes responsables que de nos choix.

Mais nous sommes responsables de tous nos choix.

Deux erreurs : croire que nous pouvons choisir ce que nous ne pouvons pas choisir (de se réincarner par exemple) et croire que nous ne pouvons pas choisir ce que nous pouvons choisir.

L'Humanité dans son ensemble s'illusionne en sous-estimant sa part de liberté... sa part de responsabilité. Les deux se confondent.

On dort au volant ; on se laisse porter par les événements au lieu de diriger son existence.

On ne se demande pas assez : "qu'est-ce que je veux ?... Qu'est-ce que je veux vraiment ?"

Il faudrait se poser la question tous les matins ; et ne pas répondre par un caprice ("j'ai envie de...") mais par une volonté, toujours la même ou presque.

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