(en réponse à Julien... et à d'autres lecteurs)
Mais pourquoi vous vous imaginez qu'il n'y a pas de solution universelle valable pour tout le monde ?
On est peut-être tous différents, mais on est aussi tous des êtres humains avec les mêmes besoins basiques : besoin de nourriture, de sens, etc. Bien sûr que tout le monde n'est pas destiné au même métier ; bien sûr qu'il y a des "musiciens-nés", des "boulangers-nés", etc. Mais lorsqu'il s'agit de trouver le calme, le sens de la vie, et un équilibre intérieur, vous surestimez peut-être nos différences, sous-estimez nos ressemblances.
Je ne veux pas dire par là que tout le monde devrait faire la même chose pour être heureux, mais la sagesse (clef du bonheur) ne varie ni d'une époque à l'autre, ni d'un individu à l'autre.
Et la recette - basique - de la paix ne varie peut-être pas davantage.
Quant à vous donner la mienne... débrouillez-vous pour la découvrir sans moi - c'est possible, plusieurs y sont arrivés. Et inutile de me demander pourquoi je ne veux pas la présenter ici, puisque pour expliquer pourquoi je ne veux pas en parler il faudrait que j'en parle.
Je repars dans la rédaction de "Marre de la vie", bonne nuit aux noctambules.
Bonjour Lucia,
RépondreSupprimerMarre de la vie n'est pas un book définitif ??
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerChère Lucia,
RépondreSupprimerpardon de ne pas te comprendre, mais je n'arrive pas à concilier les phrases suivantes : "la sagesse (clef du bonheur) ne varie ni d'une époque à l'autre, ni d'un individu à l'autre"
et :
"Quant à vous donner la mienne..."
Ne vois pas de doute de ma part ; je te crois à propos de cette recette.
Je me questionne sur les effets pervers si tu donnais cette recette directement (la paresse l'emporterait et empêcherait ainsi l'accès au bonheur).
Salutations chaleureuses,
Chris
Effectivement, le "Marre de la vie" en circulation n'est pas la dernière version... sur laquelle je travaille actuellement, et qui sera finie dans quelques mois, enfin je l'espère.
RépondreSupprimerChris, si vous voulez trouver ma recette du bonheur, vous pouvez la trouver en cherchant "Lucia Canovi" sur Google.
La "recette" de votre bonheur est votre agenda Lucia ?
RépondreSupprimerJulien
Bonjour Chris,
RépondreSupprimeren relisant votre commentaire je viens de réaliser qu'effectivement il y a une contradiction apparente entre "la recette du bonheur ne varie pas d'un individu à un autre" et "quant à vous donner la mienne"...
La seule manière de dépasser cette contradiction, c'est de supposer que "ma" recette est "la" recette - ce qui serait outrageusement prétentieux de ma part à dire ou même à sous-entendre si je l'avais inventée, mais comme je n'ai fait que la recevoir/accepter/mettre en pratique dans la mesure de mes moyens...
D'ailleurs ce n'est pas que la mienne, c'est aussi celle de millions, milliard je crois, d'autres personnes dans le monde.
Lucia,
RépondreSupprimerVous ne voulez pas en parler parce que c'est à nous de la trouver ?
Julien
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerBonjour Lucia,
RépondreSupprimeralors si je relis votre commentaire, je considère que :
- "la" recette n'est pas "votre" recette.
- elle n'est qu'à "recevoir",
"accepter", "mettre en pratique".
Elle induit donc un travail de "réception", d' "acceptation", de "mise en pratique".
De plus, le silence et le secret entourant cela ne constitue pas, la protection d'une cachotterie, mais une invitation réelle à chercher, un encouragement au travail.
Il s'agit, je pense, de quelque chose à connaître, non par l'intellect (sinon, la "recette" serait donnée directement !), mais par ce que je dirais "par l'expérience".
ex : "le tabac rend accro" (connaîssance intellectuelle).
Mais la cigarette que l'on prend, que l'on allume, la bouffée que l'on respire, le plaisir qui "monte" au cerveau, induisant la dépendance...forment la connaissance par l'expérience.
C'est quelque chose à connaître comme l'a dit Bouddha, (d'après des textes) "comme la langue connaît le goût de la soupe" et non pas par l'intellect "comme une louche plongée dans la soupe mais qui en ignore le goût."
Merci Lucia,
Chris
Salut Chris,
RépondreSupprimerrien de bouddhiste dans mon blog... ma recette est beaucoup plus rationnelle, et avant de l'accepter et de la mettre en pratique, il faut la découvrir... intellectuellement.