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30 août 2009

Pourquoi l'argument "Il y a des gens heureux qui mangent ce genre d'aliments" n'est pas valable

Effectivement, il y a des gens qui mangent du chocolat, des chips, des sandwichs au pain blanc, de la confiture, etc., et qui sont heureux.

Donc (vous dites-vous peut-être) pourquoi, moi, je devrais me priver de manger toutes ces choses savoureuses ?... Je n'ai pas besoin de renoncer à tout ça pour sortir de dépression !

Mais ce raisonnement n'est pas valable.

Car :
1/Vous ne savez pas ce qu'ils font d'autre pour garder le moral et la forme (par exemple, beaucoup de sport, manger peu, alterner périodes de folie alimentaire et périodes de sagesse alimentaire, avoir des relations harmonieuses avec leurs amis, leur famille, faire un métier qui les passionne, prier, etc.)

2/Peut-être qu'ils partent de plus haut que vous... mais qu'ils descendent.
Si vous êtes au degré - 2 et qu'ils sont au degré + 4, mais que leur manière de manger et de vivre soit métaphoriquement une glissade, une descente, ils peuvent continuer pendant encore un certain temps sans vous rattraper. N'empêche qu'ils descendent. Vous, vous voulez monter.

L'important n'est pas de savoir ce que font les gens heureux à tel ou tel instant T, mais de savoir ce qui permet d'améliorer sa vie et son humeur au moyen et au long terme (au court terme, on le sait déjà).

On peut avoir de très mauvaises habitudes et - semble-t-il - aucune conséquence ni sur son moral, ni sur sa santé.

Mais cette période miraculeuse n'a qu'un temps.

On finit toujours par être rattrapé par les conséquences de ses choix - y compris de ses choix alimentaires.

Pendant des années, je n'ai accordé aucune espèce d'importance à ce que je mangeais. Taboulet tout prêt, biscuits apéritifs, macdo... je mangeais ce que j'avais envie de manger. Et je n'étais pas malade. Bon - je manquais quand même cruellement d'énergie.

Mais on finit toujours par être rattrapé un jour ou l'autre.

Et souvent, on l'est sans même le savoir.

Pour comprendre quel impact (négatif) a une mauvaise alimentation sur le corps et l'esprit, il faut passer à une bonne. Et y rester un certain temps - un an ou deux. C'est là qu'on voit vraiment, qu'on comprend vraiment, le rôle que joue la nourriture dans l'existence.

Le problème, c'est que souvent on croit manger correctement parce qu'on suit certains principes qui sont aujourd'hui considérés comme sains, mais qui sont en réalité erronés.

On n'a pas idée qu'on puisse manger mieux que ça, et on ne se rend pas compte de la différence que cette meilleure alimentation ferait sur son coefficient de vitalité et de joie de vivre.

De plus, comme autour de soi "tout le monde mange comme ça", on croit bien faire.

Mais justement : la majorité s'égare. D'où - certes ce n'est pas la seule raison, mais ça en est une très importante - les innombrables maladies qui prolifèrent de plus en plus : diabète, fibromyalgie, autisme, arthrite, spasmophilie, acné, etc.

et dépression...

(Bien sûr, il n'y a pas que l'alimentation qui joue un rôle - mais elle en joue un très important.)

Si vous avez une voiture, vous savez que vous ne pouvez pas mettre n'importe quoi dans le réservoir. Et qu'un simple morceau de sucre suffit pour qu'elle ne fonctionne plus.

Le corps n'est pas différent : certains carburants lui conviennent, mais si on y met n'importe quoi, il dysfonctionne.

Et quand le corps dysfonctionne, l'esprit suit.

Une maniaco-dépressive a réussi à se débarrasser de sa bipolarité en supprimant le sucre de son alimentation. Qu'est-ce que ça veut dire ?...

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