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12 avril 2010

Divers (Freud, manipulations, etc.)

J'aimerais beaucoup vous dire quand mon livre sera disponible - mais pour ça, il faudrait que je sache quand je l'aurai terminé... d'après mes dernières estimations, je suis au milieu de son écriture, sachant qu'il m'a fallu à peu près deux ans pour faire la première moitié, mais aussi que je travaille de plus en plus vite... je suis bien incapable de vous dire quand je l'aurai fini, et donc quand il sera publié.

La seule chose que je peux vous garantir, c'est que ce sera un bon livre - je fais vraiment tout ce qu'il faut pour ça. Et je suis la première bénéficiaire de mon livre : grâce à lui, j'ai perdu 15 kilos, j'ai amélioré considérablement ma santé, et je me suis débarrassée de tout un tas de problèmes psychologiques. Quand on cherche à aider les autres (mon but avec ce livre), on est toujours le premier gagnant.

Pour ce qui est de Freud, voilà le secret - je pense qu'on peut dire que c'est un secret - qui me brûlait les doigts dans le précédent post, sans que j'arrive à l'exprimer: Freud était un tueur en série. Un dans le genre d'Hannibal Lecter, complètement pervers. Circonstance atténuantes : son grand-père (officiellement son père) était lui-même un assassin et a violé Sigmund ainsi que ses frères et soeurs quand ils étaient petits.

D'où la première version de la théorie freudienne : tous les problèmes psychologiques, toutes les névroses, auraient pour origine un/des viols subis dans la petite enfance...

Les patientes et patients du docteur Freud n'avaient pas été violé enfant - c'est Freud qui avait été violé et qui voulait à tout prix retrouver dans ses patients ses propres problèmes psychologiques, ses mêmes traumatismes.

Mais Freud-victime est devenu très vite Freud-bourreau...

Il prenait plaisir à torturer les animaux et à l'âge de 19 ans, il a commis son premier meurtre (enfin, on peut supposer que c'est le premier) en tuant son demi-frère John.

Vous croyez que je suis en train de diffamer Freud ou d'écrire un roman ? La vérité est souvent invraisemblable, je m'en aperçois tous les jours. Les informations que je vous communique ont été mises au jour par un journaliste très sérieux et très scrupuleux, Eric Miller. Il a écrit 1 livre (bientôt 2 autres) sur les crimes de Freud. Il prouve de manière très précise ce qu'il avance à partir de la correspondance de Freud, de ses écrits publics, et de documents historiques. Un psychothérapeute a pris le relais et écrit un troisième livre sur les meurtres de Freud, et plus précisément sur celui de son vrai père.

Freud a tué son demi-frère et son père : vous voyez d'où lui est venu l'inspiration pour le complexe d'Oedipe ?...

De sa propre vie, de ses propres crimes. Toute la psychanalyse freudienne est une confession voilée, une plaidoirie visant à acquitter un tueur en série : Freud lui-même. Il a généralisé son cas, prétendu que ses pulsions conscientes personnelles, strictement personnelles, étaient des pulsions inconscientes et universelles. Il a voulu que toute l'humanité se prenne pour le monstre que lui était vraiment.

Les historiens se demandent souvent pourquoi Freud a, d'un coup, changé son fusil d'épaule et décrété que finalement, il n'y avait pas eu viol dans l'enfance, que tout cela n'était que fantasme dans la tête des enfants. La raison est simple : Freud avait commencé a violé Anna, sa fille. Il n'était plus une victime mais un bourreau ; sa priorité n'était plus de dire (même indirectement) la vérité, mais de chercher un alibi à ses propres actes. Et quel meilleur alibi que : "C'est elle qui veut" ?

Les pédophiles actuels n'ont pas recours à un autre argument que celui-ci... Les théories de Freud sont des théories pro-pédophilie parce que lui-même en était un.

Je sais que ça fait beaucoup d'informations étonnantes, choquantes et incroyables à avaler d'un coup... Moi il m'a fallu plus de dix jours pour commencer à les digérer. J'ai lu attentivement le livre d'Eric Miller (Passion for murder, vous pouvez l'acheter sur son site en version téléchargée) et toutes les informations qu'il donne sur son site. J'ai lu aussi une biographie de Freud, plusieurs livres sur l'histoire de la psychanalyse. J'ai commencé à relire ses écrits. Tout concorde, tout colle, tout est parfaitement logique - dès qu'on admet que Freud était un pervers du niveau de Jack l'éventreur (ou pire).

Par contre, quand on refuse de croire à ses meurtres et perversions, on est confronté sans cesse à des mystères, des énigmes : pourquoi la famille de Freud refuse-t-elle l'accès de ses lettres aux chercheurs indépendants ? Pourquoi censurent-ils si impitoyablement toute information sur la vie privée de Freud ?

Pourquoi Freud confesse-t-il des envies de tuer - et menace-t-il même de façon à peine voilée [sous couvert d'expliquer un de ses rêves] l'un de ses amis de le tuer dans son livre sur l'interprétation des rêves ?

Pourquoi les adversaires de Freud meurent-ils toujours au "bon" moment, juste avant de lui faire de vrais ennuis ?

Pourquoi le demi-frère de Freud a disparu mystérieusement au moment même où Freud lui a rendu visite en Angleterre ? pourquoi, dans ses écrits, Freud parle de ce demi-frère comme s'il était toujours vivant, même trente ans après sa disparition ? et qui plus est, pour expliquer qu'il aurait voulu que ce demi-frère n'ait jamais vécu ?

Pourquoi Freud était-il tellement fasciné par le diable, par le pacte que Faust passa avec le diable ?

Pourquoi pensait-il à faire avaler une cuillerée d'excréments à sa petite fille ? Ah oui : pour découvrir si la répulsion pour les excréments est innée ou non... Un intérêt purement scientifique.

Le plus étonnant, c'est que dans le style faussement lisse et neutre qui est le sien, Freud a lui-même confessé au moins un de ses meurtres. Mais il l'a fait de telle façon qu'on peut ne pas y prêter attention...

Il a écrit (je ne sais plus où) quelque chose du genre : Machin, dont j'ai précipité la fin...

Autrement dit : Machin, que j'ai tué...

Et quand je pense que de nos jours, des psychanalystes expliquent très sérieusement à leur victime consentante, autrement dit à leur client, qu'ils doivent "tuer leur père".... C'est sensé être une image, un symbole, mais de quoi ?

L'image d'un vrai meurtre. Le symbole d'un vrai assassinat. Un vrai assassinat qui en appelle d'autres.

Quel sinistre cauchemar... Et dire que nous vivons dans ce monde-là !

Et en même temps, c'est aussi réconfortant. Si vous avez cru que vous aviez des "désirs inconscients" et malsains, vous pouvez maintenant repousser cette illusion loin de vous : ce n'est que la théorie perverse d'un pervers qui cherchait à salir tout le monde, pour que sa culpabilité à lui devienne la norme et passe inaperçue.

Stratégie freudienne : accuser les juges d'être aussi corrompu que lui, le coupable, prétendre avec assurance qu'eux aussi voudraient bien faire ce que lui a osé de faire : "Je sais ce que vous pensez mieux que vous..."

La violence psychanalytique est à tous les niveaux.
Violence de prétendre lire dans la tête de l'autre mieux que lui-même, violence d'affirmer savoir de lui ce qu'il ne saurait pas lui-même. "Vous ne vous connaissez pas... MOI je vous connais !"
Violence de mettre en position de soumission (sur le dos) et d'exiger des confidences tandis que l'agresseur prétendument "neutre" et "bienveillant" reste tapi derrière, en position de supériorité et de silence.
Violence d'imposer son interprétation d'obsédé sexuel, de meurtrier incestueux à une réalité innocente qui n'a rien à voir...

La psychanalyse est une agression à tous les étages, un viol multifonction.

Mais changeons un peu de sujet.

J'ai écrit plusieurs posts sur le sujet de la manipulation, et du moyen de s'en protéger, sans jamais donner la vraie solution, le vrai moyen, faute de le connaître.

Maintenant je le connais.

Elle est assez méchante, mais à petites touches, subtilement.
Elle a l'art et la manière de faire passer le message "tu es nulle, tu es ridicule, tu es une ratée, tu es décalée" sans le dire, d'une manière très indirecte.

Toute ma vie, j'ai été désarmé et démunie devant ses attaques psychologiques. Je n'y réagissais pas sauf pour sourire bêtement comme une victime qui préfère jouer le jeu de "tu peux continuer, je ferai comme si je n'ai pas mal" ou plus rarement en pleurant (de l'huile sur le feu). Dans de très rares cas, en m'énervant.

Mais ces derniers temps, j'ai enfin trouvé la parade. D'abord de manière plus intuitive que raisonnée, et sans trop savoir moi-même comment j'avais fait, et ensuite, ce soir, en lisant un bon livre qui explique très bien le principe que j'avais appliqué sans m'en rendre compte.

Le livre s'appelle "Transformer ses peurs", d'Anthony Gunn.
Un des chapitre s'intitule : "Mettre fin aux manipulations psychologiques" et je vous conseille de le lire, si vous avez l'occasion (tout le livre, et ce chapitre en particulier).

En résumé, une manipulation psychologique est une tentative de déstabilisation.

Il y a, en gros, deux manières d'y réagir :
- faire comme si de rien n'était ;
- s'énerver, contre-attaquer ;
Et je rajoute la pire de toute :
- se plaindre en pleurnichant, montrer ses émotions et ses larmes.

Toutes ses réactions sont, pour le pervers, tout à fait satisfaisantes. Dans tous les cas, on rentre dans son jeu.

La seule bonne réaction demande beaucoup de courage, et pour arriver à l'adopter il faut travailler sur son image de soi, en s'imaginant qu'on est très stable, stable comme une montagne, bref, on travaillant sur son équilibre émotionnel en amont.

Quand on a réussi à se sentir équilibre et stable, voici la réaction appropriée : elle consiste à dire, dès qu'on se se sent agressé, ce qui se passe :

"J'ai l'impression que tu cherches à me vexer..."
"On dirait que tu veux me blesser en disant ça..."
"On dirait que tu sous-entend que..."
"Tu veux te montrer désagréable ?"

Bref, mettre des mots sur ce que l'autre fait : au lieu de garder ses commentaires pour soi, lui en faire part avec audace, calmement. L'autre niera peut-être, cherchera peut-être en renverser les rôles, mais continuez sur le même thème, et vous verrez. Même si vous n'aurez pas explicitement gagné, vous n'aurez pas perdu, vous ne serez pas entré dans son petit jeu, vous n'aurez pas collaboré à son entreprise de sabotage, et du coup, vous vous sentirez fort.

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