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15 août 2010

D'une enfantine simplicité

Se changer soi-même pour changer le monde...
Et convertir sa dureté en douceur, sa souffrance en saveur  - n'est-ce pas un beau projet ?

Au creux de la vague et au moment où on est le plus tenté de s'apitoyer sur soi, se souvenir que si on est là, faisant ce qu'on fait, vivant ce qu'on vit, c'est par choix. La vie est un choix.

Le meilleur.

Je jette parfois un regard d'envie sur des gens qui ont plus que moi... et puis je me souviens que je n'échangerais pas mon sort contre le leur, que tout change et se transforme, et que l'aventure qui nous entraîne vers la mort a un sens.

à une époque, je ne supportais les petits chats... ni les fleurs... ni la tendresse.

Mais l'Homme (et vous en êtes un quand vous êtes une femme) est capable de se changer lui-même.

Le savez-vous ?
L'oubliez-vous ?

On se croit prisonnier... condamné... et on ne l'est pas. Jamais. Savez-vous que votre vie est le résultat de vos choix ? Avez-vous conscience de votre pouvoir ? Il y a quelque chose de grand dans la condition humaine. Quelque chose qui est au-dessus des circonstances. Et il dépend de vous (de nous) d'y puiser.

Pourquoi se laisser limiter par les pseudo-barrières d'un monde factice ?

Votre être est plus large et plus grand que l'étouffant métro-boulot-dodo dans lequel "on" se laisse asphyxier...

Je ne vous appelle pas à cueillir le jour, l'hédonisme est une facilité, pas une solution, mais plutôt à contacter votre âme.

Téléphonez-lui.

Elle a peut-être quelque chose à vous dire.

01 août 2010

D'une dépendance à l'autre...

ça me perturbe, de voir qu'on peut troquer son alcoolisme contre une toxicomanie aux antidépresseurs, sans même faire une petite pause entre les deux...

Voici le témoignage en question :

"Ce qui me perturbe, c'est que je ne sais pas pourquoi je suis si déprimée, ce que je sais c'est qu'un verre me redonnerait de l'énergie dans les minutes qui suivent son ingestion. Mais je résiste, bien que ce soit difficile alors que je sais qu'un peu d'alcool me rendrait mieux. Je suis consciente que cela ne serait que provisoire, c'est pourquoi j'attends que les antidépresseurs fassent leur effet. J'ai bien peur que le médecin soit obligé de me changer de traitement car au bout de 17 jours de prise il n'y a pas d'amélioration. Et ce sera donc reparti pour encore 15 jours d'attente pour voir si le nouvel anti dépresseur fait de l'effet, et ainsi de suite jusqu'à ce que l'on trouve le bon produit. Cela peut donc mettre des mois... Je ne sais pas si je pourrais attendre si longtemps."

Quand on compte toujours sur une substance pour être mieux, on n'a fait aucun progrès.

Mais encore faut-il comprendre qu'il y a une autre manière de vivre...

Et que la force et le "mieux", on peut le trouver en soi-même.

Mais - dites-vous - si je n'en ai pas, de force ?...

Bien sûr que si, vous en avez. Mais ce que vous avez aussi, ce sont des idées fausses qui vous affaiblissent. Au lieu de remplacer une drogue par une autre drogue, pourquoi ne pas remplacer des idées par d'autres idées - des meilleures ?

C'est le seul troc qui change vraiment quelque chose.