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30 mai 2009

"Je n'ai pas le choix"

Règle générale : plus on se croit esclave, privé de liberté, plus on est déprimé. Pour le vérifier, faites l’expérience suivante. Prononcez à haute voix les phrases en italique, et voyez comment vous vous sentez ; puis dites à haute voix les phrases en gras, et observez l’impact qu’elles ont sur votre moral :

On n’y peut rien
Je n’ai pas le choix
C’est comme ça, c’est tout
Je n’ai vraiment pas le choix
Je ne peux pas faire autrement
Je le fais parce que je n’ai pas le choix


Je suis libre
J’ai le choix
Je le fais parce que je choisis de le faire
J’ai toujours le choix
Je ne suis pas obligé
Je fais ce que je veux

Comme vous le constatez, les phrases de la colonne de gauche suscitent découragement, accablement, lassitude et faiblesse, tandis que celles de droite suscitent des sentiments nettement plus positifs. L’impression de ne pas avoir le choix est profondément déprimante.

1 commentaire:

  1. Pas si sur... constater que l'on a pas le choix ne suscite pas nécessairement découragement, accablement...ect
    Lorsqu'on se trompe, que l'on ai choisis ou pas, cela provoque le même sentiment...a peu de chose près, ça peut même être pire lorsqu'on est convaincu de l'avoir choisis !

    Anto

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