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09 juin 2010

Voulez-vous ce que vous désirez ? (ou comment passer d'une inertie désespérée à une énergie débordante en trois minutes)

Si vous ne savez pas pourquoi vous vous sentez si faible, si triste, si désespéré, c'est peut-être pour une raison toute bête et très facile à corriger : parce que vous ne voulez pas ce que vous désirez.

Notre énergie et notre joie nous vient de ce que nous aimons (et que nous avons) et de ce que nous aimons (et que nous n'avons pas encore). Ce qui est triste, ce n'est pas de ne pas avoir tout ce que l'on aime - le sort de tout le monde - mais d'avoir renoncé.

Renoncé à obtenir ce que l'on désire. Et donc... renoncé à le vouloir.

êtes-vous sûr de vouloir tout ce que vous désirez ?

Il y a mille et une mauvaises raisons de ne pas vouloir ce que l'on désire, mais elles se ramènent toutes à ces trois :

1/ Ce que je désire n'est pas possible ;

2/ Ce que je désire présente des inconvénients ;

3/ Ce que je désire n'est pas moral (cette raison-là est meilleure que les autres, mais encore faut-il qu'elle soit vraie).

Répondons à ces trois prétextes de ne rien faire...

1/ Ce que vous désirez est possible - sinon, vous ne le désireriez pas... votre envie est un signe. Le signe que vous pouvez obtenir ce à quoi votre cœur aspire.

2/ Ce que vous désirez présente des inconvénients, bien sûr - mais rester immobile dans le statut quo en vous flétrissant sur place en présente encore davantage.

3/ Ce que vous désirez est-il moral ?... Il n'y a que vous pour répondre à cette question-là, mais gardez à l'esprit que tant que ce que vous désirez est légal et ne porte atteinte à personne, vous avez le droit de le vouloir.

Ne vous contentez pas de vouloir ce qui est raisonnable, possible, souhaitable dans l'absolu - voulez ce qui est fou, impossible, et qui présente quelques inconvénients... dès lors que c'est ce que vous désirez.
Il n'y a pas d'autres limites que celles que vous vous imposez à vous-mêmes.
Franchissez-les, et vous verrez que la réalité est moins coriace que vous ne l'imaginiez.

Vous pouvez obtenir tout ce que vous désirez... à condition de vouloir tout ce que vous désirez.

4 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  2. Buuuuuulshit!
    Je meurs de desir pour une femme-je l'aime vraiment!- mais rien a faire, comme toutes les autres elle ne veut pas de moi (la traditionelle bonne blague "je suis ton amie"-cette phrase hypocrite qui en fait veut dire "t'es un gros loser et je me compromettrai jamais avec toi").
    ALors, ca se passe comment dans le monde magique de Lucia Canovi, je continue d'esperer tres fort jusqu'a ce qu'elle veuille de moi?(de toute facon elle part a l'etranger et je la reverrai jamais). Pourquoi mentir ainsi et vouloir faire croire au lecteur que tout va bien se passer alors que tout est foutu? Pour ma part, la vie c'est de la me*de

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  3. Je me permets d'intervenir et de répondre, parce que ce commentaire est la réponse courante et typique à "Vous pouvez avoir ce que vous voulez"
    Si vous voulez vraiment cette femme (et c'est vrai pour tout ce qu'on peut vouloir dans la vie), l'action est la réponse: agir pour comprendre ce qui la séduirait, agir pour gagner en confiance en soi, agir pour se changer et pouvoir lui plaire, déménager pour ne pas la laisser s'échapper... la liste des actions possibles est longue!
    Après, les deux questions clefs sont "est-ce que quiconque justifie que l'on cherche à se changer pour elle/lui?" et "ma volonté est-elle suffisante pour entreprendre un tel chantier?"
    Penser que "je suis ton amie" veut dire "t'es un gros loser" n'est que de la lecture de pensée et l'effet miroir de ce que vous pensez de vous-même. Si vous vous voyez comme un loser, ne vous étonnez pas de la perdre. Et si vous décidez de vous voir comme un gagnant, un homme qui prend sa vie et ses responsabilités en main, alors vous relèverez la tête et irez de l'avant... la conquérir, ou en séduire une autre, qui vous méritera peut-être davantage.
    Mais RIEN n'est impossible, seules vos limites vous bloquent.

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  4. Voilà, tout à fait d'accord avec Nathalie... Les limites sont celles qu'on s'impose, nos vieilles croyances qui nous enferment. Il "suffit" de les changer pour tout changer. Oui oui, ce n'est pas si facile, et alors ? QUI a dit que la vie devait être facile ?

    Et pour dépasser ces vieilles limites, la méthode de Noath Saint James (si je n'ai pas mélangé son nom) est excellente, je constate son efficacité depuis quelques jours :

    INVERSEZ VOS QUESTIONS.

    "Pourquoi suis-je un tel loser ?"

    devient :

    "Pourquoi suis-je un tel gagnant ?"

    Question à méditer à longueur de journée, et c'est normal si on ne trouve pas de réponse... Peu importe, car en ressassant la question, on se reprogramme très vite et très profondément la tête.

    "Pourquoi ma vie est-elle de la merde ?"

    devient ainsi :

    "Pourquoi ma vie est-elle si merveilleuse ?"

    En voilà une BONNE question !

    Une question constructive !

    Posez-vous là et vous verrez en quelques jours (je dis bien quelques jours) les résultats...

    Allez, disons quelques semaines grand maximum.

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