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14 juin 2009

Psychiatrie et vices

La psychiatrie évacue complètement les notions de bien et de mal. Ses descriptions se veulent objectives et (d'un point de vue moral) parfaitement neutres. Être dépressif, bipolaire, schizophrène ou névrosé (etc.) n'est ni bien ni mal.

Cependant, lorsqu'on est suspecté de vouloir tuer son père et coucher avec sa mère, ou n'importe quoi d'autre de ce genre, on ne peut s'empêcher de sentir un certain malaise... moral.

Car même si le psychiatre lui-même ne voit là rien de mal (ou le prétend), la personne ainsi décrite a peut être un autre point de vue.

Il n'y a ni bien ni mal : mais pourquoi est-ce que ce "ni bien ni mal" recouvre toujours ce qu'on appelait avant le mal ?

Jamais le bien ?

Pourquoi un psychiatre ne suspecte-t-il jamais ses patients d'étouffer un dévouement sans borne, un altruisme pur ?

1 commentaire:

  1. Je suis trop taciturne, je n'arrive pas à évoluer à ce niveau c'est l'horreur

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